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Expertise littéraire en langue française

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Henri-Frédéric Amiel est un écrivain et philosophe suisse romand devenu célèbre pour son gigantesque journal intime de 16 847 pages publié en douze volumes.

La naissance du philosophe Henri-Frédéric Amiel

Il est né le 27 septembre 1821 à Genève, d’une mère Caroline Brandt qui est morte à cause de la tuberculose et d’un père commerçant, Henri Amiel qui s’est suicidé un an plus tard. Henri-Frédéric Amel fut alors élevé par sa tante avant de poursuivre ses études à Genève.

Puis il se lança dans une course effrénée du voyage. Il a ainsi visité l’Italie, la Suisse, la France, et la Belgique.

Il a suivi des cours de philosophie, de psychologie, de philologie, puis il s’initia finalement à la théologie en Allemagne avant de l’apprendre plus intensément entre 1844 et 1848.

Du Mouvement littéraire dans la Suisse romande et de son avenir

En 1849, à l’Université de Genève, il réussit son étude Du Mouvement littéraire dans la Suisse romande et de son avenir et il donna des cours de littérature française.

Henri-Frédéric Amiel et l’inconscient

Le mot n’existait pas. Henri-Frédéric Amiel introduisit dans la langue française, aux alentours de 1860, le terme d’inconscient, au sens de « ce qui est non-conscient ».

Son style de ses écritures se caractérise par la clarté de sa pensée, de la sincérité de son introspection, de l’exactitude des détails, de sa vision découragée de l’existence et de sa tendance à la critique de soi. Henri-Frédéric Amiel publia plusieurs volumes de poèmes, d’études historiques ou philologiques, et des essais philosophiques influencés par la philosophie idéaliste allemande. Son œuvre la plus populaire parmi toutes celles qu’il publia durant sa vie était la chanson patriotico-militariste Roulez, tambours.

Toutefois, de 1854 jusqu’à sa mort en 1881, il se consacra exclusivement à la philosophie.

Bibliographie

— Berlin au printemps de l’année 1848 (1849) ;

— Du mouvement littéraire dans la Suisse romane et de son avenir (1849) ;

— Grains de mil, poésies et pensées (1854) ;

— Il penseroso (1858), poésies-maximes ;

— La Cloche,poème de Schiller (1860) ;

— La Part du rêve, nouvelles poésies (1863) ;

— L’Escalade de MDCII, ballade historique (1875) ;

— Charles le Téméraire, romand historique (1876) ;

— Les Étrangères, poésies traduites de diverses littératures (1876) ;

— L’Enseignement supérieur à Genève depuis la fondation de l’Académie depuis le 5 juin 1559 (1878) ;

— Jean-Jacques Rousseau jugé par les Genevois d’aujourd’hui (1879) ;

— Jour à jour, poésies intimes (1880) ;

— Fragments d’un journal intime (1884, 1887, 1923, 1927) ;

— Philine, fragments inédits du Journal intime (1927) ;

— Lettres de jeunesse (1904) ;

— Essais, critiques (1931).

La vidéo d’Henri-Frédéric Amiel

Mots depuis un poème de Henri Frédéric Amiel, adaptée par la révérende Dre Elizabeth Kaeton, Bénédiction.

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